Effectivement, si tu veux faire du travail de remplacement d'éléments de structure, le tournebroche n'est pas vraiment fait pour ça. dans les années 70, les professionnels intervenaient sur le châssis fixé sur un marbre avec les points de fixations et de positionnement calibrés.
Quant aux efforts dont tu parles sur les fixations des longerons, ce n'est pas aussi important que ça. Compares aux efforts exercés par l'énergie cinétique développée à haute vitesse, avec le poids total du véhicule chargé avec 3 personnes à bord et 50 kgs de bagages transféré sur ces mêmes fixations avec le bras de levier développé par les triangles de suspensions en plein transfert de masse au freinage violent en virage
Le châssis nu n'est pas si lourd, ceux qui en manipule peuvent le confirmer ici, je pense.
Maintenant, ton idée est pas mal dans le sens où ça reprend un peu le principe du marbre. Le châssis ne va pas plié, le risque restant est la torsion, notamment dans la position sur la tranche qui crée des efforts latéraux, supportables par le châssis mais à éviter lors des découpes et du soudage. Je l'éviterai en mettant deux tubes réglables dans l'encadrement des portes fixés entre serrure et charnières et ces deux barres reliées entre elle par un tube traversant l'habitacle. Réglables ces tubes, afin d'ajuster au mieux le serrage sans créer de tension sur le châssis au serrage.
Je reviens au principe, il faut verrouiller la générations des déformations en " fermant" les angles, en changeant la direction des efforts, en supprimant les axes d'efforts "libres", en créant un parallélogramme qui renvoie les efforts à un nœud soutenu par ton porte châssis par exemple.
Un cabriolet issus d'une berline ne se déforme pas alors qu'on a supprimer le toit.
Pas facile d'expliquer ça
sur un forum sans en faire une thèse 
