L'info du jour qu'on m'a transférée. Finalement, ça ne sera peut être pas sans saveur cette affaire là !
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http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/auto-transport/actu/0202365250545-renault-relance-l-alpine-507268.php
Renault ressucite enfin l'Alpine
Le constructeur automobile français a annoncé lundi la signature d'un partenariat avec le britannique Caterham pour relancer l'emblématique marque sportive. Ces nouveaux véhicules sportifs seront fabriqués à Dieppe.
AFP
La décision est donc enfin actée et devrait ravir nombre de passionnés. Après des années d'attente et comme le laissaient présager différentes rumeurs, les constructeurs automobiles français Renault et britannique Caterham ont annoncé lundi un partenariat visant à concevoir et produire des véhicules sportifs reprenant « l'ADN de l'Alpine », la célèbre marque de voitures fondée en 1955 par Jean Rédélé.
Concrètement, l‘activité sera abritée par une société détenue à part égale par les deux constructeurs et baptisée « Société des Automobiles Alpine Caterham ». Opérationnelle à partir du 1 er janvier prochain, elle sera dirigée par Bernard Ollivier, actuel directeur de la Transformation de Renault. Aucun détail n'a été cependant fourni sur les caractéristiques des futurs modèles. « Je ne souhaite pas enfermer nos ingénieurs dans des déclarations prématurées » a commenté Carlos Ghosn, PDG de Renault. Tout au plus sait on que chaque constructeur sortira, d'ici quatre ans, son propre modèle, et que ceux-ci devraient reprendre les lignes et caractéristiques qui ont fait le succès d'Alpine. « Nous ne sortirons pas des modèles surprenant par rapport à ce qui a déjà été fait » note Carlos Ghosn. Pas de commentaires toutefois sur de précédentes déclarations de dirigeants de Renault, qui avait évoqué une motorisation de « 200-250 chevaux », un poids de « 1,2-1,3 tonne », avec des dimensions très contenues de « moins de 4,30 mètres de long », et une ressemblance forte avec l'A110.
Signe de l'événement, le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg s'est lui même déplacé, pour vanter un « symbole », et « un acte de confiance » dans l'industrie automobile française. De fait, les futures voitures seront produites dans l'usine historique d'Alpine, à Dieppe, qui emploie environ 300 salariés, et qui assemble actuellement des versions sportives Megane et Clio, portant la griffe RS (pour Renault Sport). « C'est une décision importante, il s'agit de réinvestir le territoire français » juge Arnaud Montebourg. De quoi faire écho notamment à la décision de Renault, annoncée en fin de semaine dernière, d'ouvrir des négociations avec ses syndicats sur la compétitivité de ses usines françaises.
Marché porteur
Cela faisait plusieurs années que Renault cherchait à ressuciter la marque, sous l'impulsion de son directeur général délégué Carlos Tavares, lui-même passionné de courses automobile. Las, après plusieurs prototypes jamais concrétisés, le dirigeant avait prévenu : « L'ambition de faire revivre Alpine est conditionnée par notre capacité à trouver un partenaire afin d'assurer la rentabilité économique de cette aventure ». C'est donc chose faite avec l'arrivée de Caterham, déjà partenaire de Renault en Formule 1 et bien connu grâce à la « Seven », ce modèle sportif commercialisé en 1957. Ce rapprochement devrait permettre, jugent les deux partenaires, de proposer des modèles à « prix abordables », sans toutefois préciser. Le marché est en tout cas « important », assure Carlos Ghosn, affirmant que « 600.000 véhicules sportifs » se sont vendus en 2011 », et que le marché européen de ce segment est attendu en croissance de 15 % d'ici à 2015. Une bonne nouvelle à l'heure où Renault est pris dans le marasme économique du Vieux Continent, avec des ventes en chute de 26,4 % sur le seul mois d'octobre...
Renault ressucite enfin l'Alpine
Le constructeur automobile français a annoncé lundi la signature d'un partenariat avec le britannique Caterham pour relancer l'emblématique marque sportive. Ces nouveaux véhicules sportifs seront fabriqués à Dieppe.
AFP
La décision est donc enfin actée et devrait ravir nombre de passionnés. Après des années d'attente et comme le laissaient présager différentes rumeurs, les constructeurs automobiles français Renault et britannique Caterham ont annoncé lundi un partenariat visant à concevoir et produire des véhicules sportifs reprenant « l'ADN de l'Alpine », la célèbre marque de voitures fondée en 1955 par Jean Rédélé.
Concrètement, l‘activité sera abritée par une société détenue à part égale par les deux constructeurs et baptisée « Société des Automobiles Alpine Caterham ». Opérationnelle à partir du 1 er janvier prochain, elle sera dirigée par Bernard Ollivier, actuel directeur de la Transformation de Renault. Aucun détail n'a été cependant fourni sur les caractéristiques des futurs modèles. « Je ne souhaite pas enfermer nos ingénieurs dans des déclarations prématurées » a commenté Carlos Ghosn, PDG de Renault. Tout au plus sait on que chaque constructeur sortira, d'ici quatre ans, son propre modèle, et que ceux-ci devraient reprendre les lignes et caractéristiques qui ont fait le succès d'Alpine. « Nous ne sortirons pas des modèles surprenant par rapport à ce qui a déjà été fait » note Carlos Ghosn. Pas de commentaires toutefois sur de précédentes déclarations de dirigeants de Renault, qui avait évoqué une motorisation de « 200-250 chevaux », un poids de « 1,2-1,3 tonne », avec des dimensions très contenues de « moins de 4,30 mètres de long », et une ressemblance forte avec l'A110.
Signe de l'événement, le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg s'est lui même déplacé, pour vanter un « symbole », et « un acte de confiance » dans l'industrie automobile française. De fait, les futures voitures seront produites dans l'usine historique d'Alpine, à Dieppe, qui emploie environ 300 salariés, et qui assemble actuellement des versions sportives Megane et Clio, portant la griffe RS (pour Renault Sport). « C'est une décision importante, il s'agit de réinvestir le territoire français » juge Arnaud Montebourg. De quoi faire écho notamment à la décision de Renault, annoncée en fin de semaine dernière, d'ouvrir des négociations avec ses syndicats sur la compétitivité de ses usines françaises.
Marché porteur
Cela faisait plusieurs années que Renault cherchait à ressuciter la marque, sous l'impulsion de son directeur général délégué Carlos Tavares, lui-même passionné de courses automobile. Las, après plusieurs prototypes jamais concrétisés, le dirigeant avait prévenu : « L'ambition de faire revivre Alpine est conditionnée par notre capacité à trouver un partenaire afin d'assurer la rentabilité économique de cette aventure ». C'est donc chose faite avec l'arrivée de Caterham, déjà partenaire de Renault en Formule 1 et bien connu grâce à la « Seven », ce modèle sportif commercialisé en 1957. Ce rapprochement devrait permettre, jugent les deux partenaires, de proposer des modèles à « prix abordables », sans toutefois préciser. Le marché est en tout cas « important », assure Carlos Ghosn, affirmant que « 600.000 véhicules sportifs » se sont vendus en 2011 », et que le marché européen de ce segment est attendu en croissance de 15 % d'ici à 2015. Une bonne nouvelle à l'heure où Renault est pris dans le marasme économique du Vieux Continent, avec des ventes en chute de 26,4 % sur le seul mois d'octobre...
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... ils seraient obligés de se rabattre sur une base twingo 
... Logan .... 
