Bon, fini de rire, tremblez , braves gens
J'ai retrouvé ma chronique mais comme elle faisait deux pages et donnait un aperçu de chaque chanson, je vais la résumer....
C'est surtout la deuxième photo à droite qui m'intéresse...comme vous pouvez l'imaginer, il s'agit d'un hurlement de désespoir mais avec ceci de particulier qu'il dure presque 20 secondes

.....préparez vous à entendre quelque chose que vous n'avez jamais entendu....
Voilà un groupe pour lequel j?ai eu la révélation: GRAVEWORM?comme le nom l'indique, on est pas dans la variété....

mais déjà dans du très puissant....vous trouverez dans certains articles qu?ils sont allemands, dans d?autres qu?ils sont italiens?en fait ils sont italiens de langue allemande

?leurs origines faisant une musique très originale entre la puissance germanique et le côté ambiance médiévale italienne
Déjà, dans quel genre de métal classer ce groupe ???
Black doom dark gothique mystic symphonic métal

j'ose pas dire romantic mais certains le disent
Du black car la voix hurlée est constamment présente, du doom car la voix gutturale et le côté mélancolique désignent ce type de métal ; dark car l?inspiration est assez sombre?.un zeste gothique

, surtout présent par les sonorités des synthétiseurs et des guitares sèches?mystique car presque tous les textes sont des récits de légendes anciennes et symphonique car Graveworm utilise dans cet album un orchestre symphonique
L?architecture de la musique est basée sur un contraste fort entre une voix gutturale sombre ; profonde, souvent alliée à des nappes de synthétiseurs et à un rythme lent donne l?image d?un père protecteur disparu prodiguant par l?au delà ses conseils à un fils désespéré?.
et une voix black hurlée de Stefano Fiori, à mon avis le meilleur hurleur du monde qui déboule avec des blasts, hapocalyptique , transperçant le corps des vaincus
Enfin, il n?y a pas de haine chez graveworm mais plus la nostalgie d?un monde perdu? la voix black est un peu n'exprime pas souvent la violence comme souvent dans le black, plutot de la tristesse ou du desespoir
Une autre chronique prise sur internet
« Encore une pochette magnifique pour ce second album du groupe italien Graveworm. Dessinée de la main de l'artiste Luis Royo, on découvre un charmante demoiselle un tantinet elfique se pencher sur les restes d'un chevalier fauché par une épée vengeresse. Un tel visuel représente parfaitement la musique de Graveworm. Un black métal teinté de mélancolie et une musique évoquant mille paysages à la fois enchantés et démoniaques. Un style romantique plus que révolté, un style presque personnel, dans lesquels les influences sont noyées et parfaitement digérées.
Pour appuyer ses influences symphoniques et mélancoliques, le groupe à tout d'abord eu l'idée d'enrichir sa musique à l'aide de multiples et lancinants accords de violons. Mais ce n'est pas tout. Le groupe use alors d'un autre instrument venu de loin, venu des falaises d?Ecosses aux brumes centenaires, la cornemuse. C'est alors que la musique du groupe prend tout son sens, car les mélodies en deviennent irrésistibles, il suffit de jeter une oreille sur l'instrumental Ceremonial Requiem pour fondre sous les charmes mystiques d'un tel instrument !!
De plus le groupe n'a pas céder à la facilité, et nous le prouve aisément tout au long des 42 minutes de ce second album. Des compositions oscillants entre 4 et 7 minutes (voir plus) alliant riffs black, chant criard en contraste avec un chant guttural (Stefan Fiori est un vocaliste hors pair) , des mélodies prédominantes et un clavier symphonique en place assurent à Graveworm une place de choix dans votre discothèque extrême...
Des titres comme A Dreaming Beauty , Portrait Of a Deadly Nightshade , Nocturnal Hymne ou Prophecies In Blood soulignent les abysses de la mélancolie et d'un certain raffinement extrême. Car sans jamais tomber dans la violence ou le bourrinage inutile , le groupe parvient , à l'aide de breaks symphoniques bien sentis , à dépasser le stade de simple groupe suiveur et montre une véritable passion par sa musique (certains refrains prennent aux trippes).
Il en résulte un album encore une fois sincère et sans artifices illusoires pour palier un manque d'inspiration. Car inspiration il y a , et Graveworm réussit un véritable tour de force et parvient à confirmer la bonne impression laissée par When Daylight's Gone. Moi je dit chapeau !
...TeRyX... »
Attention, j'espère ne pas décimer le forum
http://www.youtube.com/watch?v=y2ss0hsq ... =graveworm
question subsidiaire : combien y a t-il de chanteurs ....???
